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Il suffit d’ouvrir un journal numérique aujourd’hui pour lire des articles sur les énormes dettes de cartes de crédit des consommateurs américains. À l’heure actuelle, ces dettes n’ont jamais été aussi élevées.
Bien sûr, cela semble problématique : la dette des cartes de crédit des consommateurs américains n’a jamais été aussi élevée !
Mais est-ce vraiment un problème ? Non, ce n’est pas le cas. En pourcentage du revenu, la dette de carte de crédit est à son niveau le plus bas depuis le quatrième trimestre 2019.
En termes d’endettement, le consommateur américain est en fait en très bonne santé.
Imaginez que demain votre dette passe de 10 000 à 100 000 euros, mais que dans le même temps votre salaire passe de 10 000 à 1 000 000 d’euros. Votre dette atteindra alors un niveau record, mais elle ne vous empêchera pas de dormir.
Désormais, lorsque vous lisez des histoires fantômes sur des dettes atteignant de nouveaux records, vous savez que cela ne veut pas dire grand-chose sans contexte. Ce n’est que lorsque vous connaissez également le niveau des revenus qu’un tel chiffre prend tout son sens. Et n’oubliez pas le taux d’intérêt, qui détermine le coût réel d’une dette.
Est-ce pertinent pour le bitcoin ?
Ce type d’information est pertinent pour le bitcoin à plusieurs égards. Après tout, vous savez maintenant que la dette totale en pourcentage du revenu des consommateurs américains n’a pas augmenté.
Ainsi, même si l’endettement a atteint un niveau record, il ne semble pas, à première vue, constituer un problème pour les consommateurs. On peut donc en déduire que l’économie américaine ne devrait pas rencontrer de problèmes.
C’est important pour le bitcoin, car une économie américaine forte est une condition essentielle à la hausse des taux.
En outre, le taux de croissance de la montagne de dettes est également important pour le bitcoin. Tant que la dette globale continuera de croître au rythme actuel, les investisseurs chercheront de plus en plus à se réfugier dans la rareté du bitcoin, de l’or, des actions et d’autres actifs financiers.