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Travailler moins sans perdre de salaire ? Le rêve de millions de Français. Et si ce n’était plus une utopie ? Une vaste étude anglo-américaine montre que la semaine de 4 jours est non seulement réaliste, mais aussi bénéfique : salariés plus heureux, en meilleure santé… et entreprises gagnantes.
Moins d’heures, plus de résultats
Près de 3.000 employés, répartis dans 140 entreprises et secteurs variés, ont testé la formule pendant 6 mois : 4 jours travaillés au lieu de 5, sans baisse de salaire. Résultat : une hausse nette du bien-être, plus d’énergie et un meilleur équilibre vie pro/vie perso.
Côté employeurs, les effets sont tout aussi positifs : baisse des arrêts maladie, employés plus motivés, meilleure fidélisation des talents. Bref, une équation gagnant-gagnant.
Une tendance qui s’accélère
Historiquement, la durée du travail a toujours évolué. Des 80 heures par semaine au XIXᵉ siècle jusqu’aux 35 heures en France, chaque réduction a d’abord semblé impossible… avant de devenir la norme.
Aujourd’hui, la semaine de 4 jours n’est plus une simple expérimentation nordique. En France, plusieurs entreprises testent déjà le modèle, et des partis politiques militent ouvertement pour une semaine de 30 heures.
Vers un basculement en 2025 ?
Si certaines sociétés hexagonales franchissent le pas, la France pourrait bien suivre la vague internationale. La semaine de 4 jours n’est plus une chimère : elle s’impose peu à peu comme une réponse crédible aux défis de productivité, de bien-être et de rétention des talents.
